[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
http://www.nabacu.org/en/
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The Would-be President of Rwanda Mrs. Ingabire Victoire, UMUHOZA WACU |
can give you freedom. Nobody can give you equality or justice or anything. If
you’re a man, you take it.
………………………………. Malcolm
appel a la
mobilisation generale pour l’ultime combat
APPARAITRA !!!
Au moment où le jour de la liberté profile à l’horizon, nous sommes conscients
que la lutte pour la liberté n’est pas facile ; acceptons la souffrance.
Nous sommes déjà conscients qu’aucun de nous ne peut réussir seul ;
quelque soit la forme de ta contribution, elle ne sera jamais négligeable.
Quand le peuple d’Israël était en désarroi se retournait à la bible. Nous aussi
lisons 1Cor3 : 4-9
vous déclare : « j’appartiens à Paul » et un autre :
« j’appartiens à Apollos », n’agissez-vous pas comme n’importe quel
être humain?
Apollos ? Et qui est Paul ? Nous sommes simplement les
serviteurs de Dieu, par les quelles vous avez été amenés à croire.. Chacun de
nous accomplit le devoir que le Seigneur lui a confié. J’ai planté Apollon a
arrosé, mais Dieu a fait croître ; en sorte que ce n’est pas celui qui
plante ni celui qui arrose, mais Dieu qui fait croître. Celui qui plante et
celui qui arrose sont égaux, et chacun recevra sa propre récompense selon son
propre travail. Car nous sommes ouvriers avec Dieu.
Rwandais, où que nous soyons ; quoi que nous faisons ; qui que nous
soyons, hommes et femmes, vieux et vieillards, jeunes et adultes,
enfants !
Christ, le maître nous appelles.
au glorieux combat.
l’esprit Saint renouvelle le feu sacré d’un cœur qui, pour sa cause bat.
désunis, affaiblis par le doute ;
entraînés tous les jours.
met sur la route où nous attend de Dieu l’invisible secours.
regardant à toi,
va de ta gloire
augmente-nous la foi
talent, santé, fortune et vie, nous donnons tous !
peut.
croix ; demain la gloire infinie
Jésus Dieu le veut, Dieu le veut.
vaillants et braves soldats de Dieu
d’entraves, luttent en tout lieu.
l’on oubli, leur noms leurs combats, mais leur sublime folie ne périra jamais.
impérative de ma conscience et de mon désir de suivre la volonté de Dieu où
qu’elle puisse conduire.
injustices et les iniquités que mon peuple continue à subir aujourd’hui.
le martyr lui-même devient une forme d’orgueil spirituel.
sur la terre de ses ancêtres, doit choisir dorénavant de s’affirmer et
d’assurer son histoire dans ses aspects tant positifs que négatifs, sans
complexe aucune.
quelqu’un qui a toujours regardé un mal de loin comme homme prudent.
nos travailleurs de la plume apprennent qu’il n’y a pas d’écriture innocente
et d’aujourd’hui, le monopole de la pensée, de l’imagination et de la
créativité.
régions des grands lacs reviennent à eux même, c’est-à-dire à leurs sociétés
vouées à la division et à la misère dont nous avons hérité pour comprendre, non
seulement que la bataille pour une pensée au service des masses déshéritées
n’est pas veine, mais qu’elle peut devenir crédible sur le plan national,
régional et international en inventant une image d’un homme véritable qui leur
permettra de réaliser des changements profonds de la situation économique,
sociale et politique, susceptibles de nous arracher à la domination de nos
semblables et à l’exploitation étrangère qui livrent nos enfants aux guerres et
combats meurtriers et sans merci.
autres intellectuels de la région des grands lacs à la veille des élections de
nos présidents :
campagnes affolés par l’avance progressive de la pauvreté, épuisés par la faim
et la soif, et sont délaissés
et désœuvrés frustrés et fatigués de voir habiter des grandes villas du
siècle et circuler dans les grosses véhicules ces pseudo-élites aliénés qui
sont à la tête de l’état et qui leur offre rien que les fausses solutions
pensées et conçues par les cerveaux d’un groupuscule ultra fichiste et
qui disposent une armée façonnée, agissant à la gestapo de l’Allemagne Nazi.
se substituer pour toujours la révolution, la lutte éternelle contre la
domination d’un peuple sur un autre.
certains individus nanti (qui détiennent le pouvoir) et ceux qui n’aspirent
qu’à manger à leur faim, boire à leur soif, survivre et conserver leur dignité.
qui souffrent dans leurs chairs, à tous ceux qui sont bafoués dans leurs
dignités d’homme par une minorité ou par un système politique qui les écrase.
nom du peuple Rwandais tant aimé, mais également au nom de tous ceux qui
ont mal quelque part.
je parle au nom de ces
milliers des Congolais qui sont dans les camps de réfugiés dans leur pays ou
dans les pays frontaliers et qui bénéficient d’un statut à peine supérieur de
celui d’un chimpanzé protégé dans le parc des volcans
je souffre au nom des réfugiés
Hutus Rwandais, massacrés jour pour jour, pourchassés, humiliés et dispersés
dans les forêts de l’Est du Congo à fin qu’ils n’aspirent à aucun droit et
devoir civique de leur pays d’origine; et que leurs tristes sorts ne se
résument qu’à la mort infligée par le gouvernement Congolais qui devrait les
protégés selon le droit international.
Je pleure au nom des pauvres
paysans (Hutus et Tutsi) confinés et affamés dans leurs villages, sans eau ni
lumière, et à qui on demande de pleurer chaque année début juillet leurs morts
qui ont permis à ces ultras sanguinaires de gouverner à leurs propres destinés.
Je pleure sans cesse au nom de
cette femme Congolaise désabusées, violée jour et nuit par son compatriote sous
l’œil complaisant de l’homme blanc, parce que sa maison, son champ, ses
cultures sont implantés au-dessus du nickel, du coltan, de l’or et du diamant
que cet homme blanc veut arracher de force par le truchement de nos semblables,
après avoir piétiné les cadavres des frères et sœurs de cette femme.
Je parle au nom des mères de
toute la région qui voient mourir leurs enfants de faim à la campagne partout
au Rwanda, de paludisme et d’autres maladies infectieuses, ignorant qu’il
existe pour les sauver des moyens simples, que la science des pays occidentaux
ne leur offre pas, par contre préférant investir dans les guerres fratricides
pour les caprices et l’égoïsme de nos chefs d’état, dont les pouvoirs sont
menacés par l’excès de tyrannie et de dictature sur les peuples assoiffés de
liberté et d’indépendance.
Je parle également au nom de L’Enfant,
L’Enfant d’un pauvre qui a faim et qui a besoin d’aller à l’école. Cet enfant
grince les dents, il est rongé par la souffrance en lorgnant les camarades de
son âge, belle tenue sur le corps, belles chaussures aux pieds dans les grosses
véhicules sur le goudron vers l’école des grands. Cet enfant de son retour par
désœuvrement il sera enrôlé de force dans les milices et groupes armés pour
gonfler les chiffres des KADOGO qui vont pourchasser ses frères pour les
éloignés des terres convoitées.
Je parle au nom de cette
journaliste Congolaise affligée par la violence faite aux femmes, essaie de
donner une information juste et impartiale; fait une analyse des faits réels;
de là elle propose une approche globale de solution politique concrète et
vraisemblable. Malheureusement elle prêche dans le désert ; toutes ses
propositions tombent dans l’oreille des sourds parce qu’ils sont acharnés à
s’enrichir aux détriments de ces déshérités.
Je proteste au nom de ces
dirigeants locaux congolais de l’Est qui sont exploités par les systèmes
politiques pourris et corrompus, et par le truchement ces impérialistes
monstrueux, sont emballés dans les projets macabres d’extermination de tout un
peuple qui cherche désespérément un retour digne au pays natal pour aider à
construire une Nation sans différence.
douloureuse de toutes les souffrances de l’humanité.
la région des grands lacs qui scrutent avec anxiété les horizons d’une scène
accaparée par les marchands de canons.
nature et de son écosystème à l’Est du Congo et les milliers de réfugiés qui
vont mourir, abattus par la redoutable arme de la faim et de la maladie.
au général) obéissant aux ordres, le doigt sur la détente qui courent
derrière ces réfugiés hutus dans les forêts, et qui savent que la balle
qui va partir en appuyant sur la détente ne porte que le message de la mort.
pays occidentaux (Etats-Unis, Belgique et la Grande Bretagne) ont choisi de
substituer à un autre peuple (TUTSI) hier encore martyrisé.
dans la nature en quête d’une terre d’asile ; courageux, déterminés,
persévérants et infatigables depuis 1990.
nécessité et l’obligation morale de respecter les droits d’un peuple :
avec leurs frères TUTSI, ils peuvent vivre ensemble.
fratricide, suicidaire et insensée, qu’ils interpellent leur Président KABILA
parce qu’il agisse contre la volonté de ses citoyens.
composantes, classées dans les forces négatives par les talentueux
colonisateurs de la région, et qui se battent pour la libération de leurs
territoires convoités ; mais qui malheureusement leurs villages sont
bombardés et pillés ; leurs sœurs et leurs femmes sont violées ainsi que
leurs frères sont tués et humiliés par les TUTSI congolais soutenus par les
expansionnistes avec à la tête PAUL KAGAME. Malgré tout et je les encourage,
ces camarades affrontent et affronteront avec courage et lucidité leur
destin.
HALYARIMANA, retranchés sur une terre d’asile qui ne leur est pas facile de s’y
accrocher ; cette veuve est accusée par méchanceté de génocidaire et par
conséquent, elle doit abandonner ses orphelins, aller pleurer et essuyer ses
larmes en prison.
où arrive la résistance de l’homme, je pense qu’avec l’expérience du peuple
hutu (surtout à l’Est du Congo) ils l’on déjà vu quand même !!
forum de ce monde, où ils pourront faire entendre leur voix et la faire prendre
en considération réellement ?
tous ceux qui sont affligés par la situation actuelle dans la région des grands
lacs pour qu’ils montent à l’assaut pour la conquête de leurs droits, pour la
conquête de leur dignité.
chèque que Grégoire KAYIBANDA et ses compagnons ont signé à la première heure
de l’indépendance
Elle doit s’inspirer de toutes les expériences des hommes depuis le 1er
souffle de l’humanité.
Afrique sub-saharienne ; nous devons être à l’écoute des grands
bouleversements qui ont transformés l’Afrique. Nous tirerons les leçons de la
lutte de libération au Mozambique, aux Zimbabwé, à la Namibie et en
Afrique du Sud ; les leçons de leur victoire contre la domination d’une
minorité blanche et leurs conséquences de ces victoires.
révolution, nous instruisant aussi de des certains échecs quelques parts qui
conduisent aujourd’hui à certains manquements de droits de l’homme (cas du
Zimbabwe), à la criminalité et la pauvreté avec leurs conséquence comme la
Pandémie du VIH/Sida (Afrique du sud) ; nous ne voulons une fois gagner
cette lutte, que conserver le noyau du pureté qui nous interdira de nous
inféoder aux réalités des autres pays, même si par la pensée nous nous
retrouverons dans les systèmes d’intérêts.
s’inscrit tout simplement à côté de tous les droits des peuples : droit à
l’indépendance, droit aux libres choix des formes et des structures des
gouvernements comme le droit au développement.
et par la lutte des peuples. A aucun moment ils seront le résultat d’un acte de
générosité.
Chers frères et sœurs, malgré les difficultés auxquelles nous sommes confrontés
aujourd’hui, nous devrons conserver une inébranlable confiance que notre
mouvement de libération doit maintenir sa cohésion, renforcer son pouvoir de
négociation, se trouver les alliés parmi les nations et recommencer avec ceux
qui peuvent nous entendre, l’organisation sous un nouveau visage, d’un
véritable mouvement politico-militaire.
Une
cause juste même s’elle ne rencontre que des revers ou indifférence, peut
à la longue trouver un écho dans le concert des nations et des peuples ;
et je l’espère.
Dès aujourd’hui, il faut à mon avis des études sérieuses prenant en compte tous
les éléments qui ont conduit et qui, plus tard peut conduire d’un jour à
l’autre aux calamités qui ont endeuillé notre pays.
Sur ce, j’invite des historiens, des sociologues, des ethno- anthropologues et
démographes de la région aidés par les mêmes spécialistes des pays étrangers à
se pencher sérieusement sur ce problème. La conférence de la région des grands
lacs basés à Bujumbura devrait apporter sa contribution.
Ce n’est pas un secret. Aujourd’hui dans notre pays et dans les régions
environnantes (MASSI – RUTCHURU) le traitement injuste infligé aux Hutus et aux
autres peuples par les Tutsi est devenu une honte pour le Rwanda.
Les hutus ne peuvent pas supporter plus longtemps en silence de telles
conditions dégradantes. Nous ne pouvons pas parce que Dieu qui nous a crée
tous, nous a commandé de résister au mal.
Je me hâte aujourd’hui à réveiller votre conscience et je suis persuadé que les
hutus en mettant un terme à ces conditions s’entendront aux mêmes qualités
d’amour chrétien dont ils ont fait preuve pendant de longues années
d’asservissement.
Car je suis sûr qu’il y a des milliers de Tutsi de bonne volonté à travers
toute la région et dans le monde qui au fond de leurs cœurs condamnent les
violences populaires et le traitement inhumaine infligé au hutus. J’en appelle
à ceux-la pour qu’ils s’arment de courage et qu’ils prennent la parole en faveur
de la loi, de la dignité et de la moralité.
J’ai pris cette décision à cause de mon amour propre pour le Rwanda et pour
toute la région. J’écris ceci parce que mon pays est en danger de perdre
son âme et peut facilement glisser dans l’anarchie tragique et un fascisme
mutilant.
Il faut qu’il se produise
quelque chose, dans les meilleurs délais qui éveille la conscience assoupie de
notre pays avant qu’il ne soit trop tard.
Si la mort est un compagnon très humble lorsqu’on n’est obligé de la côtoyer
toute la vie, le temps est venu où peut-être seule l’acceptation volontaire de
la souffrance par des innocents pourra inciter la nation à liquider ces fléaux
qui sont le mensonge, l’injustice, l’exclusion et la dictature sur tout un
peuple qui ne cherche qu’a s’avancer dans la dignité devant Dieu et devant les
hommes.
doivent mourir encore avant que nous ayons une société réellement libre, vraie
et pacifique ? Cela prendra combien de temps ?
On dit qu’on n’a pas vraiment vécu, tant qu’on n’a pas des choses à regretter
(Dr Blerok).
A mon sens si nous parvenons à comprendre et à nous imprégner de l’esprit et du
sens réel de ce qui s’est passé, je crois qu’on pourra transformer notre nation
en une société d’amour, de justice, de paix et de fraternité où tous les hommes
(hutus – Tutsi) seront vraiment frères, et pourront vivre côte à côte en
symbiose.
Mais la recherche de la paix va de paire avec la ferme application du droit des
pays à l’indépendance, droit des peuples à la liberté et des nations à
l’existence autonome. Sur ce point, le palmarès le plus impitoyable, le plus
lamentable et détenu au cœur de la région des grands lacs en terme d’arrogance,
d’insolence et d’un croyable entêtement par un petit pays, le Rwanda de Paul
KAGAME, qui depuis plus de 15 ans, avec l’inqualifiable complicité de ses
protecteurs (Etats-Unis et la grande Bretagne), continue à défier la communauté
Internationale.
Au mépris d’une histoire réelle, qui n’est pas très veille, l’histoire de
l’exile des Tutsi en 1959 et celle du fameux génocide, où les Tutsis
étaient confronté à l’honneur ; Paul KAGAME et ses compagnons arrivent à
infliger aux Hutus mille fois, ce qui fut leur propre calvaire.
sacrifice d’hier, doivent savoir que les conditions de leur propre quiétude ne
résident pas dans leur puissance militaire financée de l’extérieur. On peut opprimer un peuple pendant 100 ans, il finira
par se libérer et le prix à payer sera exorbitant.
J’invite, et les autres peuvent me rejoindre, ces tutsis à commencer à apprendre
à devenir un peuple comme les autres, parmi les autres. L’Afrique du Sud et le
Burundi doivent leurs servir de leçons.
Certes, ceux qu’ils étaient hier les autres le sont aujourd’hui. Ces qu’ils
sont aujourd’hui, les autres peuvent le devenir demain ou après demain et eux
vont repartir à la case de repart et ça sera un cercle vicieux.
Banyarwanda Banyarwanda Kazi à quoi serviront ces luttes sans
amour ? Excellence Paul Kagome, une lutte sans amour est une lutte en
vain ; le sang que tu fais couler appelle et appellera un autre sang.. A
toi d’y réfléchir pour préserver le pire à vos contemporains et à vos
descendants.
agissante à l’endroit des combattants, femmes et hommes de ce peuple vaillant
parce que nous savons qu’il n’y a pas de souffrance sans fin.
m’étaient chères dans des moments terribles. Dans les durs moments que
nous traversons je vous demande, à chacun de nous que nous puissions mettre
ensemble nos efforts pour que :
enfants mourant de faim dans l’Est du Congo ;
l’étranger ;
condamnations injustes à Arusha et ailleurs ;
trouvent leur liberté
partie de l’humanité, nous parvenions à chanter en cœur dans la foi :
tombée sous nos yeux les plus fortes murailles,
victorieux et gagne les batailles,
le trésor de la toute puissance.
deviennent forts, sous sa sainte influence.
bouclier, nous n’avons nulle crainte ;
souffert les héros dont noms suivons la trace ?
de travaux mais quelle sainte audace ?
et leur combat enflamme notre zèle ;
sur leur pas, notre chef nous appelles ;
au fond du cœur et nourrit l’espérance ;
l’amour du sauveur, joyeux dans la souffrance.
Nous chanterons en cœur avec le poète Novalis ces strophes :
éloignés pendant nos temps obscurs ;
un homme parmi les hommes ;
nouveau après une longue séparation ;
et chaque jour verra de nouvelles retrouvailles, de nouveaux embrassements.
vie ;
le rêve d’un présent à l’étendue infinie.
patrie ou la mort, nous vaincrons !
Fait à KIGEZI
Dr. Jules MUHOZI
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a “time”, yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine