[Since 1994, the world witnesses the horrifying reality : the Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination with an iron fist, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus), mass-arrests and mass-murder by the RPF criminal organization.
So long as justice and accountability for RPF past and current crimes are ignored and delayed, Peace and Stability will remain illusive and impossible in Rwanda=>As International]
Théogène Rudasingwa, ancien bras droit du président rwandais Paul Kagame, a été entendu vendredi à Paris dans le cadre de la deuxième enquête française sur l’attentat du 6 avril 1994 contre l’avion du président Juvénal Habyarimana. Issu de l’ancienne diaspora tutsi comme l’homme fort de Kigali, Rudasingwa accuse le président Kagame, depuis son exil en 2005, d’être le principal responsable de cet attentat. Un attentat considéré comme l’élément déclencheur du génocide de 1994 qui a fait, selon l’ONU, près de 800.000 morts, essentiellement d’ethnie tutsi.
Par Clive Muhenga
“J’ai répondu aux questions des juges (Marc) Trévidic et (Nathalie) Poux la semaine dernière. J’ai dit tout ce que je sais de cet attentat “, a indiqué Rudasingwa l’ancien directeur de cabinet du président Kagame, à Radio Netherlands Worldwide, joint au téléphone aux Etats-Unis. Aujourd’hui membre très actif du Congrès national rwandais (Rwanda National Congress – RNC) qu’il a créé en exil avec d’autres anciens compagnons d’armes du chef de l’Etat, Rudasingwa fut également secrétaire général du Front patriotique rwandais (FPR) actuellement au pouvoir, puis ambassadeur du Rwanda aux Etats-Unis.
Menaces
“Plusieurs autres témoins rwandais sont prêts à être entendus. Mais il faudra que des mesures de protection soient prises pour eux parce que Kagame veut éliminer tous ceux qui détiennent des informations sur cet attentat”, a poursuivi Rudasingwa. “Moi-même je suis conscient des menaces contre ma personne, mais il arrive des moments où l’on prend son courage à deux mais pour dire la vérité.” L’ambassadrice rwandaise aux Pays-Bas, Immaculée Uwanyiligira, a réfuté l’année dernière toute allégation de menaces de la diaspora rwandaise.
Rudasingwa a expliqué à RNW avoir pris ce risque à cause de la “gravité de la question”. “Les gens doivent dire la vérité, aussi longtemps que le mensonge et l’impunité règneront au Rwanda, il n’y aura pas de justice au Rwanda. Il faut la justice pour tous les Rwandais “, a déclaré Rudasingwa. “Il faut que l’auteur principal de cet attentat soit puni, dans l’intérêt de la justice, de l’unité et de la réconciliation des Rwandais. C’est Kagame qui a ordonné d’abattre l’avion, déclenchant ainsi le génocide. Il faut que les auteurs du génocide (des Tutsi) soient poursuivis et punis. Sans oublier Kagame qui l’a déclenché”, a-t-il ajouté dans cet entretien téléphonique. Il a refusé d’aborder en détail son interrogatoire par les deux juges français.
L’enquête Habyarimana
Une enquête a été ouverte en France en 1998 suite aux plaintes des familles des membres d’équipages français décédés dans l’attentat. D’abord menée par le juge Jean-Louis Bruguière, qui avait conclu en 2006 à la responsabilité du FPR, l’instruction est désormais entre les mains de deux juges anti-terroristes, Nathalie Poux et Marc Trévidic. Les résultats d’une expertise balistique effectuée à leur demande in situ à Kigali, en septembre 2010, sont toujours attendus.
Le Bureau du Procureur auprès du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) s’est toujours refusé à enquêter sur l’attentat du 6 avril 1994, affirmant qu’il ne rentrait pas dans son mandat, explication qui ne convainc pas les organisations internationales de défense des droits de l’homme comme Human Rights Watch et Amnesty International.
As International is an international nonpartisan charity organization devoted to defending human rights. It’s an organization working to promote democracy and national reconciliation, inside countries of the African Great lakes Region.
As Internationalcenters its work on the twin concepts of freedom of self-determination and freedom from tyranny. These ideals include the belief that all human beings have the rights to speak freely, to associate with those of like mind, and to leave and enter their countries. Individuals in a free society must be accorded equal treatment and due process under law, and must have the opportunity to participate in the governments of their countries;
As International ideals likewise find expression in the conviction that all human beings have the right to be free from arbitrary detainment or exile and from interference and coercion in matters of conscience. ASI does not support nor condone violence.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a “time”, yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine